Owls Talk by Alexandra Grimal
Tracklist
1. | Awake | 3:13 |
2. | Horus | 2:20 |
3. | Breathing through | 4:05 |
4. | If this then | 4:24 |
5. | Owls talk | 4:57 |
6. | Petit matin + Envol | 4:38 |
7. | Moor | 4:27 |
8. | Mélodie pour João | 3:55 |
9. | Blows II | 4:25 |
10. | December green wings | 4:21 |
11. | A.H. | 3:53 |
12. | Dance | 5:20 |
13. | Awake | 3:24 |
14. | Indicible | 2:28 |
15. | Eclipse | 4:00 |
Credits
released January 1, 2010
Recorded in New York at Systems Two Studio by Joe Marciano in December 2009
Mixed and mastered by Gérard de Haro
Extraits de presse :
**** Jazzmagazine "Owls Talk restera sans aucun doute une pierre angulaire de la discographie d'une musicienne dont on ne se lasse pas de suivre le passionnant parcours". Thierry Quenum
« The album is a delight of intimate musical joy and interplay. » The Free Jazz Collective
'What really impresses is how Grimal engages with each of these musicians . She and Konitz interact in a way that recalls the altoist's work with tenorist Warne Marsh and the connection she makes with Motian is equally strong. And yet the obvious empathy between Grimal and Peacock is something else again. Their partnership cries out for a duo album along similar lines to Kontiz's I Concentrate On You with Red Mitchell.' Duncan Heining, Jazzwise magazine
"Owls talk, une conversation d’oiseaux de nuit, nébuleuse et vaporeuse, au sein de laquelle sont entonnés les chants d’une rencontre intemporelle." Édouard Hubert, Culture Jazz
"Quand trois bonhommes de cette taille répondent présents à l’invitation improvisée de la jeune saxophoniste française, cela dépasse la simple aubaine ou le culot, mais révèle plutôt un projet riche en prise de risque (et donc taillé sur-mesure) par une musicienne dans le talent ne faisait aucun doute, déjà à l’époque, aux oreilles les plus aiguisées." Édouard Hubert, Culture Jazz
"Au sein des tissages narratifs proposés, la politique dégagée et tout en souplesse et légèreté (ce qui n’empêche en rien les moments de tension) : on y entend constamment le fil ténu du swing ininterrompu dans le silence. Un "style" d’ailleurs à l’image du son de Grimal, ce son plein et mat, cette plénitude sonore qui donne à entendre le silence quand retentit l’instrument et qui, quand elle retourne dans le silence continue la musique. Une musique spatiale donc, une musique de l’air." Édouard Hubert, Culture Jazz
'Owls talk finds Alexandra Grimal in the company of three elder statesmen of the music and she doesn’t seem remotely overawed by the experience. Indeed, her light, airy tone on tenor and soprano is perfectly suited to the way Konitz, Peacock and Motian approach music making themselves.' Duncan Heining, Jazzwise Magazine
« Un album exigeant et imprévisible, une musique d'oiseaux de nuit qui savent traduire l'instant. Un album intense, et pourtant presque reposant. Juste évocation de ce que nous offre le jazz dans ce qu’il a de meilleur… » Sophie Chambon, Citizen Jazz
Recorded in New York at Systems Two Studio by Joe Marciano in December 2009
Mixed and mastered by Gérard de Haro
Extraits de presse :
**** Jazzmagazine "Owls Talk restera sans aucun doute une pierre angulaire de la discographie d'une musicienne dont on ne se lasse pas de suivre le passionnant parcours". Thierry Quenum
« The album is a delight of intimate musical joy and interplay. » The Free Jazz Collective
'What really impresses is how Grimal engages with each of these musicians . She and Konitz interact in a way that recalls the altoist's work with tenorist Warne Marsh and the connection she makes with Motian is equally strong. And yet the obvious empathy between Grimal and Peacock is something else again. Their partnership cries out for a duo album along similar lines to Kontiz's I Concentrate On You with Red Mitchell.' Duncan Heining, Jazzwise magazine
"Owls talk, une conversation d’oiseaux de nuit, nébuleuse et vaporeuse, au sein de laquelle sont entonnés les chants d’une rencontre intemporelle." Édouard Hubert, Culture Jazz
"Quand trois bonhommes de cette taille répondent présents à l’invitation improvisée de la jeune saxophoniste française, cela dépasse la simple aubaine ou le culot, mais révèle plutôt un projet riche en prise de risque (et donc taillé sur-mesure) par une musicienne dans le talent ne faisait aucun doute, déjà à l’époque, aux oreilles les plus aiguisées." Édouard Hubert, Culture Jazz
"Au sein des tissages narratifs proposés, la politique dégagée et tout en souplesse et légèreté (ce qui n’empêche en rien les moments de tension) : on y entend constamment le fil ténu du swing ininterrompu dans le silence. Un "style" d’ailleurs à l’image du son de Grimal, ce son plein et mat, cette plénitude sonore qui donne à entendre le silence quand retentit l’instrument et qui, quand elle retourne dans le silence continue la musique. Une musique spatiale donc, une musique de l’air." Édouard Hubert, Culture Jazz
'Owls talk finds Alexandra Grimal in the company of three elder statesmen of the music and she doesn’t seem remotely overawed by the experience. Indeed, her light, airy tone on tenor and soprano is perfectly suited to the way Konitz, Peacock and Motian approach music making themselves.' Duncan Heining, Jazzwise Magazine
« Un album exigeant et imprévisible, une musique d'oiseaux de nuit qui savent traduire l'instant. Un album intense, et pourtant presque reposant. Juste évocation de ce que nous offre le jazz dans ce qu’il a de meilleur… » Sophie Chambon, Citizen Jazz